Bilan

1992 is not a year on which I shall look back with undiluted pleasure. In the words of one of my more sympathetic correspondents, it has turned out to be an ‘Annus Horribilis’. I suspect that I am not alone in thinking it so. […] I sometimes wonder how future generations will judge the events of this tumultuous year. I dare say that history will take a slightly more moderate view than that of some contemporary commentators. Distance is well-known to lend enchantment, even to the less attractive views.

Elisabeth II


 

1992 n’est pas une année sur laquelle je me retournerai avec un plaisir pur. Selon les mots de l’un de mes correspondants les plus compatissants, elle s’est révélée être une Annus Horribilis. Je crois n’être pas seule à penser ainsi. […] Je me demande parfois comment les générations futures jugeront les événements de cette année tumultueuse. J’ose dire que l’histoire aura une vision légèrement plus modérée que celle de certains commentateurs contemporains. Il est bien connu que la distance donne du charme même aux paysages les moins attirants.

Elisabeth II