Bisque bisque basque !

Le quotidien ou le caractère permet rarement d’agir en héros ; toutefois, il est tant d’occasions de faire plaisir par de petites attentions que l’on aurait tort de s’en priver. Je ne manque donc jamais de faire remarquer à mes collègues que s’ils sont très élégants vêtus de leur nouveau manteau ou costume, l’habit leur siérait encore mieux s’ils avaient coupé les petits fils de couture restreignant les mouvements de l’étoffe, dans le dos. Et de prendre mes ciseaux, de joindre le geste à la parole, libérant ainsi les basques entravés. Eh oui, c’est cela aussi la magie de Noël.